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Encore une histoire SM qui me fait kiffer ....

Je l'ai empruntée au site BondagePlus !

Mon pote m’a demandé si j’aimerais être kidnappé pour un week-end. J’y avais déjà pensé et cela me faisait kiffer un max, mais je ne l’avais jamais fait. Je n’étais pas certain, mais je songeai :

« Eh, tu devrais essayer ! », aussi acceptai-je.

Il me demanda de me promener dans la rue à un endroit précis et un moment précis, plusieurs jours la semaine suivante. Il m’avait demandé de porter mon survêtement et ma casquette pour qu’on puisse m’identifier. Je ne trouvai pas cela étrange à ce moment là. Je songeais que ce serait lui qui me kidnapperait.

Donc j’étais dehors à me promener à ce moment, et la camionnette s’est mise à ma hauteur et le type m’a demandé son chemin. Il était très beau, et je dois confesser que je commençais un peu à le draguer. Il m’a demandé mon nom, et quand je le lui donnai, il dit simplement :

« c’est lui », et la porte de la camionnette s’est ouverte à l’arrière.

Avant que je puisse faire quoi que ce soit, je fus entraîné à l’arrière et retenu par deux types pendant que le véhicule repartait. Des liens furent mis à mes poignets et à mes chevilles, un bâillon fut mis sur ma bouche et une cagoule sur mon visage et refermée avec un cadenas. Je fus attaché allongé en croix sur le sol et je ne pouvais plus bouger. Ce n’était pas ce à quoi je m’étais attendu, et mon cœur battait. C’était clair que celui qui m’avait kidnappé n’était pas mon ami. J’étais terrifié et excité à la fois.

« Bon, il est à nous » entendis-je dans le lointain à travers la cagoule.

J’essayai de me débattre, mais sans succès. Qu’allait-il m’arriver ?

Nous avons continué à rouler. Je perdis la notion du temps. Ma queue était massive et mon cœur battait. Les types ne dirent pas un mot.

A la fin, la camionnette s’est arrêtée, après quelques bosses et quelques cahots. Nous avions du prendre une piste. Je fus libéré et sorti du camion, mais ma cagoule fut laissée et un collier fut mis autour de mon cou. Je fus emmené dans un autre endroit et attaché en croix à une sorte de cadre. Je restai là suspendu, ne sachant pas ce qui allait arriver ensuite. Je sentis ensuite que mes habits m’étaient retirés. Ce n’est vraiment pas le bon mot, puisque j’étais attaché aux mains, aux pieds et à la tête. Ils furent découpés pour m’être retirés, et ensuite mon paquet fut attaché et tiré vers le haut. J’étais complètement à leur merci. La cagoule fut retirée et je vis brièvement trois types masqués dans la pièce avant qu’un masque de respiration ne soit fixé sur mon visage. Pour l’instant, personne n’avait tenté de me baiser.

« Ça y est », pensai-je, « on y vient. »

Mais non, je sentis une étrange sensation glisser sur mes bras et mon torse. Du film transparent ! J’avais dit à mon copain que j’aimerais être momifié, drogué et abusé.

« Cela va arriver », pensai-je, « mais comment puis-je savoir que ces types sont sains ? »

J’étais encore plus perturbé, mais ma queue pulsait encore plus. Je devins de plus en plus excité au fur et à mesure que le film m’enveloppait, et enfin une couche d’adhésif me fut entièrement appliquée. J’étais complètement enfermé, complètement immobile. Puis en respirant je sentis de la fumée. Arrivait-on à la phase de drogue ? Je partis à la dérive, tout en reconnaissant l’odeur du poppers. La dernière chose que j’entendis fut, à distance :

« OK, laissons le un moment et appelons les autres. Il sera fin prêt dans une heure environ. »

… Drogué, recouvert de film transparent et d’adhésif, complètement immobilisé je pendais là, flottant avec le poppers. Le temps passait et je pouvais seulement rester là et penser. Ces types qui m’ont enlevé m’étaient inconnus et n’étaient pas ceux à qui j’avais pensé initialement. Je ne savais pas ce qui allait se passer. J’étais terrifié mais aussi hyper excité en même temps. Mon cœur battait et comme je n’avais presque pas l’usage de mes sens, mes pensées se recentraient vers ma queue. Elle était gonflée et palpitait. J’avais tellement envie que l’un des types revienne et se mette à jouer avec. Je commençais à fantasmer sur ce qui allait arriver à leur retour. Cela ne fit qu’empirer ma frustration. Je voulais être soulagé, mais je ne pouvais même pas bouger.

Je crois que j’ai du m’enfoncer dans un sommeil teinté de sexe car je ne me souviens plus que quelqu’un soit revenu près de moi pour un bon moment. Je devins graduellement conscient de mouvements et de voix autour de moi. Il y avait maintenant plus de trois voix, donc leurs copains avaient du arriver. La fête allait commencer et j’étais l’attraction principale. Des mains caressèrent mon corps recouvert et j’eus la sensation que le cadre auquel j’étais attaché était basculé. Je crois que j’étais suspendu à mi hauteur, face au sol. Je sentis un mouvement vers mon cul et mes couilles. La bande adhésive fut découpée et je sentis la fraîcheur du lubrifiant se répandre autour de mon trou. Puis un doigt. Je tentais de me retirer et d’appeler, mais je ne pouvais pas bouger. Encore de la fumée et la douce odeur des poppers. Je ne retenais plus mes pensées. J’étais tellement excité. L’un d’eux glissa sa queue dans mon trou et commença à pilonner. Elle était grosse, mais j’étais prêt. Je commençai à gémir et repartis dans d’autres fantasmes. J’avais toujours voulu cela, et maintenant ça arrivait, c’était une sensation incroyablement paniquante mais aussi érotique. Je me rappelai vaguement le type qui jouissait en moi, puis ils échangèrent. Le deuxième était plus rude que le premier, et plus gros, mais les drogues faisaient leur effet. Je pendais simplement là, en fantasmant sur ce viol en série. Je n’ai pas souvenir du temps que j’ai été leur jouet. Je crois que j’ai été pris par dix d’entre eux. Je commençais à redescendre un peu. Je pouvais sentir mes bras, mes jambes et mon torse toujours attachés au cadre. Je pouvais sentir mon trou. Il était humide et me faisait un peu mal à présent. Pas surprenant après le pilonnage qu’il a reçu. Tout était calme. Ils m’avaient à nouveau laissé.

« Bon, OK », pensai-je, « je suppose qu’ils vont bientôt me libérer. Je vais bien, juste un peu inconfortable. Et ça a accompli mon rêve. »

Ah, que j’avais tort ! J’étais là pour bien plus longtemps. Plusieurs heures ont du passer et j’étais toujours attaché. Pourquoi ne m’ont-ils pas relâché. Je commençai à me tracasser et à m’inquiéter à nouveau. Pourquoi étais-je toujours là ?

Quelqu’un vint dans la pièce et j’essayai d’appeler, mais la cagoule et le bâillon empêchèrent de me faire comprendre. Je pensai enfin que j’y arrivais. Je voulais arrêter !

« Pas question » vint la réponse. « Tu es en notre possession pour faire ce que nous voulons. »

Il me redonna du joint et du poppers et s’en alla.

J’étais épuisé et mes muscles hurlaient leur besoin de bouger, mais je ne pouvais pas. J’avais besoin de soulager ma vessie. Je repartis dans les transes et quand je revins à moi, j’avais pissé sur moi.

« Ce petit salaud n’a pas pu attendre », entendis-je. « Je pense qu’on va encore se servir de lui. »

Je fus de nouveau drogué et mon trou fut pilonné. Puis seul…

Combien cela a-t-il duré. Et bien ils me larguèrent du camion cinq jours plus tard avec juste un short et un T-shirt, et mes clés. Je croyais que c’était bien plus long, mais quand vous ne pouvez pas bouger, rien voir, entendre, dire ou faire quoi que ce soit, le temps n’a pas de durée. Qu’est-ce que j’ai aimé. Avec le recul, c’était l’expérience la plus érotique de ma vie. Est-ce que j’aimerais recommencer ? Oui s’il vous plait ! Y a-t-il un amateur ?

L'hitoire originale ICI

http://www.blog.bondageplus.fr/index.php/fr/le-blog/des-histoires/288-une-histoire-sm--qca-mest-arriveq 

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